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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 10:15

 

 

Voici 10 concours à destination des photographes amateurs, sans oublier le meilleur de tous ISTANBUL PHOTO CONTEST organisé par Nurdogan SENGÜLER des Arts Turcs:

www.istanbulphotocontest.com

 

CONTACT US

Les Arts Turcs is located in Sultanahmet, the old town of Istanbul, Turkey. The Aya Sophia and Blue mosques are our neighbors. If you look out the windows of our office, over the park covering the underground cistern, you can see both of these treasures, the Topkapi palace, and the sea of Marmara beyond.
You are welcome in our gallery anytime. Just stop by to browse and to sit down for a cup of tea. We are open everyday from 10:00 until 20:00.
Address

Les Arts Turcs
Incili Çavus Sok. No: 19 Kat:3 (Yerebatan Sarayi Girisi Arkasi) 
Alemdar Mah. Sultanahmet 34400
Istanbul, Turkey

Talk to us

Tel: 90 (212) 527 68 59
Tel: 90 (212) 638 12 15
Fax: 90 (212) 527 68 59
Web:
www.lesartsturcs.com

info@istanbulphotocontest.com
nurdogan@lesartsturcs.com 
eb: 
alp@lesartsturcs.com

 

Vos archives sont remplies de clichés d’Istanbul et de Turquie ? Pourquoi ne pas participer à l’un des innombrables prix organisés chaque année dans le pays? A une exception près, aucun des 10 concours listés ci-dessous ne limite la participation aux citoyens turcs dans son règlement. Les récompenses indiquées sont les trois premiers prix seulement. N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations

Nom : "Kente Karşı İşlenen Suçlar" / Les crimes contre la ville
Organisateur : ÇYDD (Association de soutien à une vie moderne) - Fotopya
Thème en une phrase : Les constructions qui gâchent la silhouette de la ville
Date limite de participation :
12.04.2013
Date de réunion du jury :
19.04.2013
Annonce des résultats :
03.05.2013
A gagner:
appareil Canon EOS 600D DSLR + objectif 18-55mm f/3.5-5.6 (1er prix) ; MacBook Pro 13-inch (2ème prix) ; iPad mini (3ème prix)
Règles de participation en cliquant
ici (participation en ligne uniquement)

Nom : Kuveyt Türk Katılım Bankası ‘‘Altın Kare’’ / “Cliché d’or” de la banque Kuveyt Türk
Organisateur :
KUVEYT TÜRK KATILIM BANKASI A.Ş.
Thème en une phrase :
L’or dans nos vies (sous toutes ses formes)
Date limite de participation :
12.04.2013
Date de réunion du jury : 17.04.2013
Annonce des résultats :
19.04.2013
A gagner:
25 gr d’or (1er prix) ; 15 gr d’or (2ème prix) ; 10 gr (3ème prix)
Règles de participation en cliquant ici (CD/DVD uniquement)

 

Nom : "Tarih Kokan Antalya"/ L’Antalya historique
Organisateur :
ANFAD (Association des amateurs de photographie et de cinéma d'Antalya)
Thème en une phrase :
Les beautés naturelles, culturelles, touristiques et sociales d’Antalya
Date limite de participation :
26.04.2013
Date de réunion du jury :
03.05.2013
Annonce des résultats :
05.05.2013
A gagner:
2.000 TL(1er prix) ; 1.500 TL (2ème prix) ; 1.000 TL (3ème prix)
Règles de participation en cliquant
ici (CD/DVD uniquement)

 

Nom : “EN GÜZEL LALE” / La plus belle tulipe
Organisateur :
İSTANBUL BÜYÜKŞEHİR BELEDİYESİ - İFSAK
Thème en une phrase :
Les tulipes des parcs et autres jardins d’Istanbu
Date limite de participation :
27.04.2013
Date de réunion du jury :
04.05.2013
Annonce des résultats :
07.05.2013
A gagner: 3.000 TL (1er prix) ; 2.000 TL (2ème prix) ; 1.500 TL (3ème prix)
Règles de participation en cliquant
ici (CD/DVD uniquement)

Nom : Gülümseten Kareler / Des clichés qui font sourire
Organisateur :
Optimum Outlet AVM-Fotopya
Thème en une phrase :
Des photos qui font rire ou sourire
Date limite de participation :
01.05.2013
Date de réunion du jury :
07.05.2013
Annonce des résultats :
17.05.2013
A gagner:
chèque cadeau de 3.500 TL chez Media Markt (1er prix) ; chèque cadeau de 2.500 TL chez Media Markt (2ème prix) ; chèque cadeau de 1.500 TL chez Media Markt (3ème prix)
Règles de participation en cliquant
ici (participation en ligne uniquement)
Note :
les lycéens et écoliers peuvent aussi participer (catégories spéciales)






Nom : En “Havalı” Kareler / Les clichés qui “en jettent” le plus
Organisateur :
İGDAŞ (compagnie de distribution du gaz naturel à Istanbul)
Thème en une phrase :
“Les merveilles d’Istanbul”
Date limite de participation :
24.05.2013
Date de réunion du jury :
31.05.2013
Annonce des résultats :
03.06.2013
A gagner:
5.000 TL (1er prix) ; 3.000 TL (2ème prix) ; 2.000 TL (3ème prix)
Règles de participation en cliquant
ici (participation en ligne ou par envoi de CD/DVD)
Note :
concours réservé aux citoyens turcs

 

Nom : Deniz Ticaret Odası Geleneksel 14. Fotoğraf Yarışması/Concours de photo de la chambre de commerce maritime
Organisateur :
Deniz Ticaret Odası
Thème en une phrase :
“Ces détails qui font penser à la mer”
Date limite de participation :
16.06.2013
Date de réunion du jury :
20.06.2013
Annonce des résultats :
21.06.2013
A gagner:
3.000 TL (1er prix) ; 1.500 TL (2ème prix) ; 300 TL (3ème prix)
Règles de participation en cliquant
ici (CD/DVD uniquement)

Nom : Su, Dünyanın Her Karesinde / L’eau dans chaque cliché du monde
Organisateur :
İFSAK - WİLO
Thème en une phrase :
L’eau dans nos vies
Date limite de participation :
14.09.2013
Date de réunion du jury :
21.09.2013
Annonce des résultats :
23.09.2013
A gagner:
3.000 TL (1er prix) ; 2.000 TL (2ème prix) ; 1.000 TL (3ème prix)
Règles de participation en cliquant
ici (CD/DVD uniquement)

Nom : 1. Ulusal Din ve Toplum Fotoğraf Yarışması / Concours de photographie “religion et société”
Organisateur :
DİYANET-SEN (direction des affaires religieuses)
Thème en une phrase :
“L’islam, l’humain et les édifices religieux”
Date limite de participation :
18.09.2013
Date de réunion du jury :
22.09.2013
Annonce des résultats :
23.09.2013
A gagner:
5.000 TL (1er prix) ; 3.000 TL (2ème prix) ; 2.000 TL (3ème prix)
Règles de participation en cliquant
ici (CD/DVD uniquement)

Nom : “Dört Mevsim İstanbul” / Les quatre saisons à Istanbul
Organisateur :
İBB, MSGSÜ, İFSAK
Thème en une phrase :
quatre catégories : Istanbul au printemps, en été, en automne et en hiver
Date limite de participation :
15.11.2013
Date de réunion du jury :
23.11.2013
Annonce des résultats :
26.11.2013
A gagner dans chaque catégorie:
5.000 TL (1er prix) ; 4.000 TL (2ème prix) ; 3.000 TL (3ème prix)
Règles de participation en cliquant
ici (CD/DVD uniquement)

Anne Andlauer (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) lundi 8 avril 2013

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 09:00
Une entreprise française (domaine :...
Salih Sert 3 avril 16:49
Une entreprise française (domaine : Télécommunication) qui a une filiale à Istanbul, recherche un ou une stagiaire (parlant Français et turc) pour une durée de 6 mois pour sa filiale. Date de début du stage : 15 Avril ou 2 Mai, possibilité de recrutement après le stage. Les personnes intéressées peuvent m'envoyer leur CV par mail : slh.sert@gmail.com
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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 11:10

CHŒUR DES CIVILISATIONS D’ANTIOCHE – Harmonie interconfessionnelle

 

Des prêtres, des imams, des rabbins, des retraités, des étudiants… qui interprètent ensemble un répertoire multiculturel en hébreu, italien, arabe, latin ou arménien : c’est le pari réussi du Chœur des civilisations d’Antakya, ou Antioche, grande ville de Turquie à la frontière syrienne. Les artistes sont en tournée et passent par Istanbul samedi.

Certains ferment les yeux, les mains croisées ou le long de leur toge blanche. Certains ont à peine 20 ans quand d’autres pourraient bien être leurs grands-parents. Ils se sourient, sourient à la salle. Leur plaisir d’être là est communicatif.

Ces 120 chanteurs, tous amateurs, sont nés à Antakya, sur les rives de l’Oronte, à quelques kilomètres de la frontière syrienne. Ibrahim Cemal, 67 ans, juif, est l’un des doyens du chœur, qu’il a rejoint le premier jour. “Tous mes amis m’ont d’abord demandé comment je pouvais chanter autre chose que des chants religieux juifs, et si c’était permis. Mais dans toutes ces chansons, nous chantons le même Dieu, avec autant de cœur, et cela ne me pose aucun problème”, assure-t-il.

Le logo du choeur des civilisations d'Antioche

Au tout début, en 2007, ils étaient 75 : 15 juifs, 15 musulmans sunnites, 15 alévis, 15 chrétiens orthodoxes et 15 catholiques. Chaque groupe chantait ses chants et les autres écoutaient. Jusqu’à ce qu’ils réalisent, très vite, qu’ils pouvaient chanter côte à côte, tous ensemble, en dépit des préjugés, en défi aux préjugés. “Il y a des gens très pieux qui considèrent que je ne devrais pas chanter entre un prêtre et un rabbin, et qui ne veulent pas voir ça. Mais notre communion suffit à réfuter tous leurs arguments”, renchérit Ahmet Gürbüz, un imam de 59 ans.

“Nous ne tomberons pas dans le piège”

Préjugés mis à part, l’existence même de ce chœur multiconfessionnel, unique en Turquie, intrigue. “L’imam Ahmet Gürbüz, par exemple, est mon voisin de palier. Cela n’a jamais posé de problème et franchement, à Antakya, ce n’est pas quelque chose auquel on pense”, s’étonne Renita Horoz, une jeune Arménienne orthodoxe. “Mais c’est vrai que je ne porte jamais ma croix aussi tranquillement qu’à Antakya. Ailleurs, cela peut créer des ennuis alors qu’à Antakya, tout le monde sait que je suis arménienne et je n’ai jamais eu de soucis à cause de ça”, ajoute la jeune femme.

Yılmaz Özfırat, le chef de chœur, n’est pas originaire d’Antakya. Il y vit depuis son mariage, admire sa diversité ethnico-religieuse – certes bien fade en comparaison de ce qu’elle fut jadis – et médit de tous ceux qui tentent de monter les communautés les unes contre les autres, en Turquie et en Syrie.

“Depuis l’époque ottomane, nos racines sont les mêmes, nous sommes les enfants d’une même culture”, affirme-t-il. “Certains essayent d’attiser les tensions interconfessionnelles en Syrie, et d’autres espèrent réussir la même chose à Antakya. Mais ils n’y arriveront pas, nous ne tomberons pas dans ce piège.”

Choeur des civilisations d'Antioche by Anne Andlauer

Un concert à Gaza, à Alep ?
Ces six dernières années, la chorale a donné plus de 200 concerts en Turquie. Elle s’est déplacée en Europe, a chanté à Paris, Berlin ou Athènes, au Parlement européen, au siège des Nations Unies et plus récemment, en novembre, devant le Congrès américain. Yılmaz Özfırat a d’autres plans en tête, encore plus ambitieux : “Nous voulons donner un concert à Gaza, devant des Israéliens et des Palestiniens. Ce serait une façon de dire ‘Regardez, si nous y arrivons, vous pouvez y arriver aussi.’ C’est simple: nous voulons chanter dans tous les coins du monde où il y a des divisions.”

Lors d'un concert à Bursa (photo AA)

L’an dernier, le chœur des civilisations d’Antakya figurait sur la liste des 231 nominés pour le prix Nobel de la paix, finalement attribué à l’Union européenne. Mais la plus belle des récompenses, soupire Yılmaz Özfırat, serait de pouvoir chanter pour leurs voisins syriens, à Damas, Homs ou Alep. Et ce, le plus tôt possible.

Anne Andlauer (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) jeudi 4 avril 2013

En savoir plus sur le site internet du chœur

Concert le 6 avril à 20h à l’église Sainte-Irène (enceinte du Palais de Topkapı). Invitations à retirer au stand de la préfecture de Hatay à Feshane.

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 10:13

Face au succès de notre chronique musique mensuelle, nous vous proposerons désormais une chronique “cinéma+littérature”. Le principe ? Un film et un livre choisis et commentés par l’auteur et réalisateur Kenan Görgün .

FILM : A perdre la raison de Joachim Lafosse (Cocuklarım)

Le 32ème Festival du Film d’Istanbul offre cette année encore un programme d’une richesse et d’une variété incomparables. Parmi toutes les pépites qu’il nous est donné de découvrir, je voudrais, pour cette première chronique cinéma des “Images et des mots”, vous recommander une œuvre que nous ne reverrons peut-être plus sous nos latitudes : “A perdre la raison” du cinéaste belge Joachim Lafosse, un des réalisateurs de langue française les plus importants des dix dernières années. Aimer à la folie. Aimer à en perdre la tête et commettre l’irréparable. Pour son cinquième long-métrage, Lafosse explore l’amour le plus sacré de tous : celui d’une mère pour ses enfants. Inspiré de la tragédie Lhermitte, de cette mère de famille ayant assassiné ses cinq enfants en 2007, le projet a provoqué partout des levées de boucliers, bouleversé la Croisette à Cannes et raflé quatre récompenses à la dernière cérémonie des Magritte. Dans un style d’une sobriété tétanisante, “A perdre la raison” représente une expérience émotionnelle de première intensité. Dans le rôle de la mère, Emilie Dequenne gagne définitivement ses galons de grande comédienne. Tahar Rahim, la révélation fracassante du “Prophète” de Jacques Audiard, prouve s’il en est besoin qu’il est bel et bien l’un des acteurs les plus talentueux de sa génération. Disséqué au plus près de ses tourments et de ses émotions, leur couple à l’écran est inoubliable. Inoubliable, aussi, cette chronologie d’évènements anodins qui mèneront au drame. De l’amour à la folie, il n’y a parfois que quelques pas. Et nous les franchissons sans même en être conscients.

A perdre la raison / Cocuklarım
IKSV FILM – 7 & 8 avril 2013 – City’s / 11 avril 2013 – Rexx
http://film.iksv.org/tr

 

LIVRE : “Passion arabe, journal 2011-2013” de Gilles Kepel

S’il est une plume française qui nous aura permis de déchirer le rideau (bien souvent, rideau de fumée) du Moyen-Orient pour pénétrer dans ses réalités aussi diverses qu’inattendues et déstabilisantes, c’est bien Gilles Kepel. L’auteur de “Jihad”, “Fitna”, du saisissant “Terreur & Martyre”, a été pendant de longues années professeur d’études arabes à Sciences Po…jusqu’à l’arrêt brutal du département en 2010. Décision d’une intelligence lumineuse, on en conviendra, dans un monde qui a plus que jamais besoin que des esprits brillants et dévoués nous aident à forger des clés d’interprétation. Qu’à cela ne tienne, Gilles Kepel délaisse la chaire, attrape son bardaf, devient baroudeur, devient voyageur et bédouin des temps modernes. Entre Kessel et Tintin, il se perd volontairement partout où bat le cœur de ce Moyen-Orient. Des territoires en pleine mutation, qui dans la douleur et les larmes tentent d’accoucher d’une nouvelle version d’eux-mêmes. Au fil de ses pérénigrations, qui le mènent du Bahrein au Yémen, du Liban à la Lybie, Gilles Kepel pose également sa besace et son regard acéré sur Istanbul, cette métropole de plus en plus cosmopolite, au cœur d’un pays de plus en plus engagé sur la balance géopolitique de la région. Il y discerne , comme ailleurs, un fascinant laboratoire où se cherche et se reconstruit cet art indispensable de l’être ensemble et non plus les uns contre les autres. Une lecture éclairante, mais aussi passionnante comme un roman d’aventures !

“Passion arabe, journal 2011-2013” ; Editions Gallimard ; collection Témoins ; 475 pages.

Kenan Görgün (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) jeudi 4 avril 2013

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 08:49
"Once upon a time"
Thématique Expositions
Date de debut 2013.04.04
Date de fin 2013.05.13
Intro L'artiste Bengisu Bayrak a choisi la modernisation de la Turquie entre 1950 et 1970 pour son exposition "Once Upon a Time" à la Galerie Deyim.
Description Les travaux de Bengisu Bayrak ont été présentés dans des expositions nationales et mondiales telles que la Biennale d'Istanbul par exemple. L'artiste joue avec la combinaison entre films et art, et montrant les objets qui ne sont pas essentiels à l'intrigue du film.
Contact 0212 286 21 82
Adresse Sakayik Sk. Kamar Apt. No:47/1 Nisantasi - Istanbul
Lien http://www.deyimsanatgalerisi.com/tr/
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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 08:05
Mathias Poisson au Depo
Thématique Expositions
Date de debut 2013.04.06
Date de fin 2013.04.21
Intro À partir de l’exploration du quartier de Tophane et à travers une série de rencontres et d’expériences sensibles, Mathias Poisson installe ses dessins, petits et nombreux, tremblants et raffinés dans l’espace de Depo.
Description Réunis ensembles, ils forment une carte à la fois personnelle et collective. L’image d’un instant figé dans l’agitation. Un endroit pour se perdre, en détails. Mathias Poisson est plasticien et performeur. Il fait de la promenade un territoire d’expérimentation artistique. Il réalise des cartes subjectives, des guides touristiques détournés et propose des visites sensibles conçues comme des expériences chorégraphiques. Il imagine aussi des expositions (dessins, installations) qui traduisent ses explorations dans des quartiers à l’écart des centres villes et des lieux connus de tous.
Contact 0212.292.39.56
Adresse DEPO Istanbul : Lüleci Hendek Caddesi No.12 Tophane - Istanbul

Lien http://www.depoistanbul.net
Posté par MA
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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 09:19
La sixième édition de la foire d’art contemporain Art Bosphorus se tiendra au Palais des Congrès de la Corne d’Or (Haliç Kongre Merkezi) du 4 au 7 avril. Le thème de cette année est "Histoires parallèles, constructions et inconnu". Ce grand rendez-vous de l’art a pour vocation de faire connaître les artistes turcs mais aussi internationaux, français, belges, allemands, espagnols, géorgiens ou encore sud-coréens. Pas moins de 107 artistes et 25 galeries seront représentés cette année.

Dans les allées : sculptures, peintures, céramiques, gravures, installations, photos et vidéos. Cette foire se donne aussi pour objectif de faire découvrir l’art actuel au public le plus large possible, sans élitisme, et s’adresse aux novices autant qu’aux initiés.

Pour cette nouvelle édition, Denizhan Özer, le directeur de la foire, souhaite présenter les “nouvelles formes” que revêt l’art contemporain. Le visuel sera au centre de l’évènement. Pendant ces quatre jours, le public assistera à des performances artistiques. La première, "Cimetery of Facelessness", est prévue dès ce soir à 19h30. Elle sera réalisée par l’artiste turque Beste Naiboğlu, suivie par une performance solo de l’artiste sino-américaine Audrey Chen.

Aurélie Darblade (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 3 avril 2013

En savoir plus : le site d’Art Bosphorus

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 08:23

Première promenade dans la ville

Connaissez-vous la ville de Mardin, située dans le sud-est de la Turquie, en plein cœur de l’ancestrale et légendaire Mésopotamie ? Myrtille Jacquet Duyan, elle, la connaît bien. Cette Française y vit avec sa famille et, au travers de chroniques régulières, se propose de vous faire découvrir sa ville d’adoption…

Laissez-moi donc vous la faire découvrir au travers des modestes yeux de la française que je suis, tombée en amour avec cette région voilà bientôt six ans.

Pour débuter ces entretiens avec l’une des plus belles reines d’Orient, commençons par une présentation générale de la ville, petite remise dans son contexte, afin de mieux vous plonger dans les articles à venir.

Crédit photo MJD

Mardin… Que d’histoires, de cultures, de croyances et d’âmes humaines entremêlées sur la grande frise du temps ! Berceau de l’humanité et partie intégrante du Croissant fertile entre l’Euphrate et le Tigre, elle a su résister aux affronts du temps accueillant entre ses bras tant de civilisations du paléolithique à nos jours.

Construite sur le pan sud d’une colline surplombant la Mésopotamie à 1200m d’altitude, elle déroule son histoire en strates sous nos yeux, strates d’histoires sur strates de pierres. Ville solaire s’ouvrant d’ouest en est, de la porte de Diyarbakır à la porte de Savurkapı “Bab-e-Sor”, elle déploie le long de l’unique grand rue son enfilade de bâtiments, églises, mosquées, madrasas, caravansérails et autres trésors de pierres dorées.

Mardin, dans l’horizon, c’est en premier temps le ciel, un grand ciel souvent bleu qui n’en finit pas de s’étendre.

Mais laissez donc vos yeux descendre doucement et vous verrez alors émerger son château, ancestral, majestueux, bon père veillant sur sa précieuse fille; mentionné des le 4ème siècle par le voyageur romain Ammien Marcelin, véritable symbole de la ville, qui a su tenir tête face aux diverses civilisations qui ont voulu tant de fois conquérir cette belle.

Crédit photo MJD

Un peu plus bas apparait la superbe madrasa Zinciriye, dont la construction date de 1385, véritable havre de paix, à l‘image du savoir qu’elle abrita des siècles durant. Elle héberge aujourd’hui l’institut des langues de l’université Artuklu, perpétuant ainsi sa vocation originale.

Continuez votre descente entre les successions de maisons en pierres ocre, organisées de manière organique autour des ruelles qui suivent la colline, et vous arriverez sur la place de la République, devant le bâtiment qui loge aujourd’hui le superbe musée de la ville, installé dans l’ancien patriarcat orthodoxe assyrien. A cet étage de la ville, il est possible de trouver plusieurs églises. L’église des quarante martyres datant du 6ème siècle, l’église chaldéenne construite au 5ème siècle, l’église de la Vierge Marie…

Continuez la descente, vous vous trouvez enfin sur l’artère principale de la ville, déversant son flot de voitures, d’artisans et de touristes chaque jour, véritable onde vitale s’écoulant au rythme des évènements et des saisons.

Quelques marches plus bas vous voila pénétrant dans le bazar, grouillant de nombreux savoir-faire et trésors, où chaque allée possède son odeur, sa couleur…

La partie basse de la vieille ville s’élance aussi à l’horizontale, grâce aux minarets à l’architecture changeante, émergeant des cours des nombreuses mosquées. La grande mosquée, la mosquée Latifiye, Şehidiye… Chacune avec son histoire et ses particularités.

Mardin, c’est aussi de nombreuses fontaines, où les femmes se retrouvent pour brosser de grands tapis de couleurs, des hammams suffoquant leurs vapeurs moites, des étages de maisons aux superbes terrasses, des ânes cheminant au rythme de leur mission…

Mais c’est encore un entrelacs d’hommes, de femmes et d’enfants… de cultures, de langues, de religions ; des yeux bleus, verts, miels ou sombres comme la nuit. Mardin telle une Babel miniature, mosaïque de vie, d’histoires et de légendes…

Crédit photo MJD

C’est également sa plaine aux couleurs sans cesse changeantes, ses villages, ses cultures, ses rivières et ses vallées verdoyantes, ses traditions, ses mariages, son histoire en marche, tournée plus que jamais vers le futur…

Mardin, c’est une Reine d’Orient qui sait accueillir le voyageur sans but lui offrant la chaleur de ses bras maternels. Mardin est là, trônant sur sa colline, vous attendant pour une pause dans ce monde au rythme toujours plus effréné, pour un arrêt dans le temps entre ses murailles sans âge.

Alors prenez le temps et laissez vous voyager pour mieux vous retrouver…

Myrtille Jacquet Duyan(http://www.lepetitjournal.com/istanbul) vendredi 29 mars 2013

Myrtille Jacquet Duyan est née en 1983 dans le sud de la France. Elle a étudié et pratiqué les arts du théâtre en France jusqu’en 2005. Après un voyage d’un an dans différents coins du monde, elle s’est installée en 2006 à Mardin.

Elle s’est mariée en 2007 et y vit toujours avec sa famille. Depuis quatre ans, elle s’implique dans différents projets visant à développer la pratique du théâtre dans sa ville d’adoption.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 09:07
Assistant traducteur

Accès au Site Internet
Description Recherce un/une assistant traducteur turc-français, motivé, bonne présentation exigée, afin de travailler dans le secteur de l'art.
Envoyer la candidature sur wegnersanat@gmail.com (cv avec photo si possible)
Appeler de 9h à 20h.
Adresse

Contact M. Wegner
Email wegnersanat@gmail.com
Téléphone +905075680451
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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 09:04
"Once upon a time"
Thématique Expositions
Date de debut 2013.04.04
Date de fin 2013.05.13
Intro L'artiste Bengisu Bayrak a choisi la modernisation de la Turquie entre 1950 et 1970 pour son exposition "Once Upon a Time" à la Galerie Deyim.
Description Les travaux de Bengisu Bayrak ont été présentés dans des expositions nationales et mondiales telles que la Biennale d'Istanbul par exemple. L'artiste joue avec la combinaison entre films et art, et montrant les objets qui ne sont pas essentiels à l'intrigue du film.
Contact 0212 286 21 82
Adresse Sakayik Sk. Kamar Apt. No:47/1 Nisantasi - Istanbul
Lien http://www.deyimsanatgalerisi.com/tr/
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  • : Le blog de karavanseray
  • : Ce blog est destiné aux associations (et entreprises) françaises et de culture moyen-orientales, aux artistes souhaitant recevoir des conseils en matière de gestion, d'organisation, de demandes de subventions, etc... hors activités politiques et cultuelles, et souhaitant faire connaître leurs activités en France, en Turquie et dans les pays du moyen-orient.
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